Dans le cadre de l’étude de faisabilité en vue de l’installation d’un marché d’intérêt territorial (MIT) en Corse financé par l’ODARC et co-pilotée par la Chambre d’agriculture de Haute-Corse et l’ODARC avec l’appui d’un bureau d’études spécialisé Soliance Alimentaire, une présentation d’un premier carreau de producteurs corses à destination des professionnels a été organisé sous un chapiteau à la Chambre d’agriculture de Haute-Corse à u Viscuvatu le lundi 22 juillet 2024.
Cette matinée était l’occasion de réunir les agriculteurs désireux de participer à l’organisation d’un marché agricole pour des acheteurs professionnels et développer l’économie locale à travers la production corse et de qualité.
Ce futur MIT pourra prendre la forme d’un carreau traditionnel physique mais également une dimension virtuelle-numérique.
De plus, un travail autour d’un label est en réflexion pour garantir aux consommateurs l’origine, la fraîcheur, la proximité et l’économie locale que peut constituer les produits issus du MIT.
Pour ce faire, de nombreux acteurs économique du système agricole et alimentaire en Corse (agriculteurs, acteurs du tourisme-hôtellerie et restauration, la grande distribution, et bien d’autres) étaient pour discuter ensemble de ce projet ambitieux pour la Corse.
Des acteurs institutionnels étaient également présents, comme Le Préfet de Haute-Corse, le Directeur du DRAAF, le Président de l’INRAE (centre de recherche agronomique) mais aussi une délégation venue spécialement du Val de Marne, la société SEMMARIS Rungis a fait le déplacement pour apporter son témoignage et expertise sur les marchés de gros en France et l’importance de structurer le marché de commercialisation des denrées alimentaires.
Le Président de l’ODARC a souligné l’importance de ce projet et qu’il constitue un maillon essentiel pour la Corse pour son autonomie alimentaire et le développement de l’agriculture.
Le Préfet de Haute-Corse en tant que représentant de l’Etat a conclu en disant être « prêt » à soutenir et accompagner les projets qui relèvent de la structuration des filières de façon collective.
Le vaste chantier est lancé et le début du processus de co-construction est en cours pour répondre au défi de la souveraineté alimentaire en Corse, aujourd’hui de l’ordre de 4% seulement.
Cette matinée était l’occasion de réunir les agriculteurs désireux de participer à l’organisation d’un marché agricole pour des acheteurs professionnels et développer l’économie locale à travers la production corse et de qualité.
Ce futur MIT pourra prendre la forme d’un carreau traditionnel physique mais également une dimension virtuelle-numérique.
De plus, un travail autour d’un label est en réflexion pour garantir aux consommateurs l’origine, la fraîcheur, la proximité et l’économie locale que peut constituer les produits issus du MIT.
Pour ce faire, de nombreux acteurs économique du système agricole et alimentaire en Corse (agriculteurs, acteurs du tourisme-hôtellerie et restauration, la grande distribution, et bien d’autres) étaient pour discuter ensemble de ce projet ambitieux pour la Corse.
Des acteurs institutionnels étaient également présents, comme Le Préfet de Haute-Corse, le Directeur du DRAAF, le Président de l’INRAE (centre de recherche agronomique) mais aussi une délégation venue spécialement du Val de Marne, la société SEMMARIS Rungis a fait le déplacement pour apporter son témoignage et expertise sur les marchés de gros en France et l’importance de structurer le marché de commercialisation des denrées alimentaires.
Le Président de l’ODARC a souligné l’importance de ce projet et qu’il constitue un maillon essentiel pour la Corse pour son autonomie alimentaire et le développement de l’agriculture.
Le Préfet de Haute-Corse en tant que représentant de l’Etat a conclu en disant être « prêt » à soutenir et accompagner les projets qui relèvent de la structuration des filières de façon collective.
Le vaste chantier est lancé et le début du processus de co-construction est en cours pour répondre au défi de la souveraineté alimentaire en Corse, aujourd’hui de l’ordre de 4% seulement.
Marie-Pierre Bianchini, Directrice par interim de l'ODARC et Joseph Colombani, Président Chambre Agriculture 2B