Contrôles, subventions, PAC, Lionel Mortini répond aux questions de Corse-Matin
Une interview en transparence et sans langue de bois comme toujours de la part du Président de l'ODARC, Lionel Mortini
Le paiement des aides à la surface relève d'une obligation. Elles ne peuvent pas être supprimées du jour au lendemain.
Oui l'Etat est pleinement responsable de la situation
Tel qu'il a été mis en place, le système n'est pas bon
Des règles du jeu avaient été actées en 2015 et on ne doit pas changer de règles au cours du match. Tout est rendu plus complexe par le non-respect des engagements pris.
Le deuxième pilier de la PAC (qui représente notamment les aides à l'investissement) est de mieux en mieux géré par l'ODARC. Tandis qu'on voit ce que donne le premier pilier sous la responsabilité de Paris.
Nous ne mettrons pas un genou à terre, nous allons être présent autant que possible, sauver ce qui est notre ADN, des filières multiséculaires.
Rédigé le Jeudi 23 Janvier 2020 à 11:11 | modifié le Jeudi 23 Janvier 2020